ambit

Vous avez acquis il y’a quelques mois la montre GPS Suunto Ambit. Vous vous en souvenez comme si c’était hier, le moment où vous avez ouvert le carton et l’avez sortie de son emballage, l’instant où vous l’avez accrochée à votre poignet. C’était probablement le plus beau jour de votre vie . Depuis, elle vous accompagne dans chacune de vos sorties, et dans toutes vos activités sportives. Plus qu’un outil, c’est devenu un partenaire d’entraînement incontournable.
En avril dernier, quand la deuxième génération de Suunto Ambit a été présentée, c’est plus par curiosité que vous vous êtes intéressé au sujet. Hors de question de changer de montre. Une fidélité infaillible à celle qui vous a rendu plus fort et vous a permis de dépasser vos limites. Mais en feuilletant le dossier de presse de la marque, surprise ! Et quelle mauvaise surprise !!! Suunto précisait que les montres GPS première génération ne bénéficieraient plus des nouvelles mises à niveau logicielles de la marque, offrant de nouvelles fonctionnalités ! Un scandale !!!
Vous avez été nombreux à en faire le retour à Suunto, et à préciser que la capacité du produit à évoluer avait été source de motivation à votre achat. Suunto l’a compris, s’est excusée et est revenue sur sa décision.
D’ici juin 2013, une nouvelle mise à jour sera disponible sur Movescount.com. Elle contiendra les fonctionnalités les plus réclamées par vous autres utilisateurs. A savoir, les Suunto Apps avancées (niveau Ambit2 avec fonctions mathématiques riches, nouvelles variables, son et rétro éclairage), mais aussi un témoin de batterie, une application alarme d’orage, une application lever/coucher du soleil, un compte à rebours, une pause automatique, et un affichage de la vitesse maximale d’un exercice.
Si la Suunto Ambit première génération pourra bénéficier de certaines évolutions, le manque de mémoire de son logiciel ne lui permettra pas de recevoir toutes les nouvelles fonctionnalités de l’Ambit2, actuelles ou à venir, comme la fonction natation. Désolée, mais là pour le coup, il faudra s’y faire…